Clip de musique métaverse-Paulette

La vidéo s’ouvre sur Paulette, plongée dans un monde lumineux et utopique : un métavers où tout semble parfait, où chaque instant est une promesse d’aventure et de plaisir. Dans ce monde virtuel, elle vit une existence idéale, loin des tracas et des ombres de la réalité. Elle se déplace librement, entourée d'images chatoyantes et de paysages colorés, où chaque interaction est une rencontre idéale, chaque paysage une œuvre d'art numérique. Son sourire est radieux, son esprit libre, et son regard brille d’un éclat nouveau. Dans ce métavers, Paulette est reine, elle est maîtresse de son destin, libre de choisir chaque facette de son existence.

Cependant, à chaque transition entre ce monde idéal et la réalité, la lumière s’éteint. La vidéo devient plus sombre, les couleurs se fanent, et la scène se transforme peu à peu en un lieu oppressant. Paulette se réveille dans une pièce stérile et froide, où les murs sont faits de métal et de verre. Son corps est attaché, son regard inquiet, ses mouvements restreints. Elle est captive, enfermée dans un laboratoire sinistre, sous l'observation attentive d'un groupe d’individus.

Les scientifiques, sans émotion, lui imposent une série de tests : des sondes connectées à sa peau, des écrans qui affichent des graphiques froids. Ils examinent ses réactions avec une précision clinique, analysant son stress, sa peur, ses émotions, cherchant à comprendre les frontières entre ses expériences dans le métavers et les répercussions sur sa perception du monde réel. Chaque test semble de plus en plus intrusif, chaque sensation de plus en plus désagréable. Paulette, paralysée par l’impuissance, lutte pour comprendre ce qu’il se passe. L’illusion du métavers se dissipe peu à peu, laissant place à la dure réalité de sa captivité.



Finalement, après une série d’événements chaotiques, Paulette réussit à briser la réalité de son existence et à s’échapper de la cage de métal qui la tenait captive. Elle se rend compte que tout ce qu'elle croyait savoir, tout ce qu’elle avait vécu, n'était qu'une illusion soigneusement orchestrée. Le métavers, cette existence parfaite, n’était qu’un outil pour la maintenir dans un état d’illusion permanente, un contrôle subtil d’une réalité encore plus vaste et plus manipulatrice qu’elle ne l’avait imaginé.

Dans une scène finale poignante, Paulette, les yeux grands ouverts, se tient face à un miroir. Elle voit son reflet, mais elle voit aussi au-delà. Elle comprend enfin la supercherie, le mensonge dans lequel elle était enfermée. Le monde, avec ses promesses de perfection et de liberté, n’était qu’un leurre. Désormais libre, elle s’engage dans la quête de la vérité, prête à confronter les forces qui manipulent la réalité.

Gear : RED SCARLET 5K//Série leica r//MOVIPRO//DOLLY PANTHERE//aputur//nanlite//arri//

PRODUCTION//Post production//étalonnage

SCENARIO PAULETTE ET LOUIS DUVAL

RÉALISATION : louis DUVAL

Chef opérateur : LOUIS DUVAL

Auteurs : Paulette et Wissem

Compositeurs : Paulette / Kalv Prod / Wissem

Mix : Memmix (Yan Memmi) - Boumbox

Studio Mastering : Adil DSD Sound

Sound Design : Kalv Prod

Electro-machinistes : Nicolas Helie et Joffrey Chatelier

Assistante Caméra et Pointeuse : Inès Merlière

Chef décorateur : Simon Legros

Post-Production : Studio Photo Goncourt

Étalonnage : Temim Hammadi

Photographe tournage : Dimitri Balan

Styliste : Céline Bourgeois et Paulette

Assistante styliste : Linda Pich

Chef maquillage et coiffure : Sarah Flory

Acteurs : Eebra Toore et Charlotte Ysnel

Acteurs voix-off : Paulette et Kijah

Figurants : Seo, Timo, Gigi, Loup, Julia, Julien et Yasmine

Remerciements : Hakim Gaouaoui et toutes les équipes du Splash Asnières Christophe Capelli et toutes les équipes de Capelli Immobilier Slimane et ses équipes d'ADN Sécurité Mehdi de Sweet&Nuts Patrice Pinard et la Mairie de Clichy Rentalshop et Matphoto Sophie, Dominique Mickael OF MIKE